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Le moins qu'on puisse dire est que les pro-polisario espagnols se trouvent aujourd'hui dans une mauvaise posture! La vérité sur les derniers événements  du Lundi noir de Laâyouve vient d'éclater au grand jour. Le premier ministre espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, le reconnaît lui-même. Il va même jusqu'à affirmer que la réalité des faits sera dure à assumer par les pro-polisario. Le chef de l'éxécutif espagnol, qui intervenait devant la Commission exécutive du parti socialiste ouvrier (PSOE), parti au pouvoir, a demandé d'ailleurs à ce que les données sur le démantèlement du campement de Gdeim Izik soient portées à la connaissance des membres du parti socialiste lui-même, et aussi à la société espagnole.

On sait que l'affaire du Sahara suscite un large débat, voire une agitation en Espagne, et ce, pour différentes raisons historiques ou tout simplement opportunistes..., sinon par hostilité déclarée à l'égard du Maroc!

Sans oublier que cette question constitue pour certains milieux politiques, notamment,le parti d'opposition de droite un enjeu politique pour faire pression sur les socialistes visant à reconquérir le pouvoir! On le voit, l'affaire du Sahara a un impact sur l'échiquier politique espagnol!

Quoiqu'il en soit, le collectif acquis à la thèse du Polisario, et son  soutien indéfectible, est aujourd'hui groggy! Tous les plans qu'il a échaffaudés avec ses protégés et la bénédiction des gouvernants d'Alger ont lamentablement échoué. Bien sûr, ils sera difficile, voire douloureux pour eux de reconnaître leur échec, leur défaite! Mais la réalité est là, bien là!!!

Les manoeuvres et les manipulations du Polisario sous l'égide de l'Algérie relayées par une presse espagnole acquise et dévouée n'ont pu avoir les résultats escomptés grâce à la vigilance des autorités marocaines, et surtout à leur serf contrôle.

Les officiels  espagnols viennent de reconnaître eux-mêmes qu'il n'ya jamais eu de massacre comme le prétendait le Polisario. La situation s'est beaucoup clarifiée a affirmé un responsable du parti espagnol au pouvoir. Pour lui le bilan s'établit désormais comme suit: onze (11) éléments des forces de l'ordre marocaines sont morts. Ainsi que deux (2) sahraouis dont l'un a été fauché par un véhicule.

Le démenti ainsi apporté par les officiels espagnols eux-mêmes constitue un nouveau revers pour les médias ibériques qui ont usé et abusé de mensonges et de désinformations!