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Le collectif des avocats marocains en charge des dossiers des victimes marocaines d'une campagne médiatique espagnole de désinformation,de dénigrement et de mensonge parle...

Le collectif des avocats de la défense, en charge des dossiers des Marocains victimes  de la campagne de désinformation,de dénigrement et de mensonge de la part des médias espagnols devant les juridictions juridiques espagnoles, ont donné, le 5 décembre 2010, au siège du syndicat national de la presse marocaine, à Rabat, une onférence de presse afin d'informer l'opinion publique sur les démarches suivies et le développement de l'affaire devant la justice ibérique.

   Les avocats marocains n'ont pas manqué de relever les difficultés rencontrées pour recourir aux tribunaux espagnols, les procédures souvent compliquées ne permettent pas aux défenseurs étrangers d'intervenir directement devant les tribunaux espagnols en dépit des accords judiciaires qui peuvent exister entre l'Espagne et des pays tiers. Malgré ces difficultés de circonstance, les défenseurs marocains se disent déterminés à poursuivre leurs démarches en collaboration avec leurs confrères espagnols pour faire aboutir leurs doléances.   

Ils est demandé également aux défenseurs marocains pourquoi avoir choisi de recourir au pénal au lieu des tribunaux civils, et se contenter d'indemnisations. Or, le choix de la cour pénale est délibéré visant à démontrer la gravité justement des actes commis par les mis en cause,actes qui sont en violation flagrante avec les dispositions de la loi fondamentale de l'Espagne, autrement dit, la constitution espagnole!   

Au cas où la justice espagnole ne les satisfait pas, les défenseurs marocains n'entendent pas rester là! Ils sont déterminés à user de tous les recours auprès de toutes les juridictions et instances compétentes européennes et internationales.   

Les avocats marocains, agissant au nom de leurs clients, se disent plus déterminés que jamais à démontré le parti pris de certains médias espagnols, en contradiction du respect des règles essentiels de la pratique journalistique et de la déontologie professionnelle quand il s'est agi de   traiter des événements du Lundi noir de Laâyoune, n'hésitant pas à fabriquer de toutes pièces des faits sans rapport avec la réalité. Comme c'est le cas d'Antenna 3, la chaîne de la TV privée espagnole véritable trust médiatique, qui a diffusé des images d'un crime familiale, ayant eu lieu  fin janvier de cette année dans un quartier populaire de Casablanca, faisant passer les victimes de celles de l'intervention violente (sic) des forces de sécurité marocaines contre des citoyens sahraouis pendant les événements de Laâyoune.   

Il en est de même pour l'agence de presse espagnole "Europa press" qui a donné pour morts deux citoyens sahraouis victimes eux aussi "des violences" des forces d'intervention marocaines. Or et contrairement aux allégations de l'agence espagnole, il s'est avéré que les deux personnes supposées décédées, sont bel et bien vivantes...   

On sait aussi que l'agence de presse officielle espagnole "EFE"  est tombée  dans le panneau victime des manipulation des séparatistes du Polisario, et ce, en diffusant des photos de bébés palestiniens victimes du raid israêlien sur Gaza en tant que celles des agissements des forces de sécurité marocaines.   

Chaque fois des médias espagnols, et pas des moindres, se sont trouvés pourvoyeurs d'informations inventées ou fabriquées de toutes pièces dans le seul but de nuire délibérément à l'image du Maroc!  



05/12/2010
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