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Le Polisario et l'Algérie après leur cuisant échec cherchent bouc émissaire

Décidément, le Polisario et son hôte l'Algérie n'arrivent toujours pas à digérer leur cuisante défaite devant les instances internationales, que ce soit l'ONU , le Parlement européen ou d'autres institutions et organisations politiques...Les deux acolytes "malheureux" sont à la recherche de boucs émissaires pour transcender leur amertume, voire leur désarroi! Et cet ennemi tout désigné qui a contrarié tous leurs plans à propos des événements douloureux du Lundi noir de Laâyoune, a été tout trouvé, la France! Son tort ne pas avoir cautionné, contre toute logique, les dérives que Tindouf et Alger voulaient faire subir au processus de paix présenté par le Maroc et répondant à un agenda politique déterminé coincidant avec la célébration du 35ème anniversaire de la Marche Verte et la reprise des discussions informelles de Manhassat, à NewYork,et ce, en fomentant les troubles sanglants de Laâyoune.

   Pourquoi singulariser principalement la France parmi les autres membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU?  Considèraient-ils Paris comme le maillon faible de l'instance onusionne? Ou croyaient-ils à tort les Français sensibles  à leur thèse? N'est ce pas là un faux calcul ou tout simplement présumer de leur capacité de persuasion, et donc de propagande! 

L'échec cinglant du Polisario et de leurs suppôts d'Alger a été d'autant  plus  flagrant et retentissant  que ceux qui l'ont subi, ne pouvaient l'accepter et l'admettre de gaieté de coeur! Le mensonge et la supercherie ont fait long feu!

   La frustration et la déception ont été très grandes quand le Conseil de sécurité de l'ONU a refusé d'accéder à la demande pressante du Polisario et d'Alger de dépêcher une commission d'enquête à Laâyoune, repoussant d'un revers de main, les contre-vérités et les élucubrations qu'ils voulaient faire admettre sur les événements des camps de Gdeim Izik et de Laâyoune.   

 L'instance décisionnelle des Nations Unies ne pouvait tomber dans le piège du Polisario et de son protecteur puisqu'elle était informée des événements au jour le jour aussi bien par le Maroc que par la Minurso qui lui fournissaient les preuves tangibles sur la réalité de ce qui se passait à l'intérieur et autour du camp de Gdeim Izik, et aussi dans la ville de Laâyoune. Donc le Conseil de sécurité de l'ONU a eu tout le loisir de mesurer la portée des événements et cerner les responsabilités. Les membres de l'instance onusienne ont pu ainsi visionner les faits et constater le caractère odieux des actes ignobles des nervis de Tindouf et d'Alger qui encadraient et orientaient des repris de justice, lesquels commettaient de sang froid des assassinats au vu et au su de tout le monde, ne faisant preuve d'aucune humanité!   

Une fois son échec consommé, voilà que le Polisario inspiré par son protecteur menace de reprendre les armes contre le Maroc! A-t-il les capacités nécessaires ou même le courage de s'engager dans une aventure dont il ne peut maîtriser l'issue . Beaucoup d 'eau a coulé sous les ponts et le contexte des années 70 et 80 n'est plus celui d'aujourd'hui! Aussi la sortie du Polisario ne peut être considérée finalement que comme du chantage pur qui finira par lui éclater en plein visage sous l'effet boomerang!

 



22/11/2010
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