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Laâyoune, la capitale des provinces du sud théâtre dernièrement d'événements sanglants fomentés par des éléments à la solde d'ennemis perfides du Maroc, manifestement affidés à un agenda politique bien déterminé , commence a retrouvé aujourd'hui sa situation d'antan, c'est à dire un climat stable et paisible! La population comme à l'accoutumé vaque à ses activités quotidiennes après avoir fait le compte de ses victimes et de ses  dommages, et alors que les forces de l'ordre ont repris leur travail normal pour veiller à la protection et le sécurité des âmes...Les atrocités vécues par la population pendant quelques longues heures semblent un cauchemar désormais oublié!

Pourquoi  ce drame s'est-il produit? Pouvait-on éviter ce grave débordement et ces actes de violence? Qui en est responsable? Est ce le fait d'un excès de confiance, de manque de vigilance ou de laxisme? Ce sera le travail d'une commission d'enquête parlementaire récemment constituée de déterminer les responsabilité des uns et des autres...!

Il est légitime de savoir pourquoi ce chaos et cette dérive se sont-ils produits? Pourtant, il y avait des éléments précurseurs qui pouvaient annoncer le drame et éventuellement le contenir: la distributions de tracts hostiles par des séparatistes, un retour débridés ces derniers temps de séquestrés de Tindouf parmi lesquels se sont infiltrés quelques fauteurs de troubles bien entrainés et dont la présence et la participation ont été remarquées lors des événements tragiques de Laâyoune suscitant un grand émoi, non seulement auprès des populations saharaouie, mais aussi auprès de la population marocaine entière! Il y a eu unanimité pour dénoncer ces graves troubles instrumentalisés et alimentés, dans le dessein de  destabiliser le Maroc!

Malgré la déformation volontaire des faits survenus à Laâyoune, et les mensonges colportés par une certaine presse,les médias espagnols pour les nommer, la vérité a fini par triomppher puisque le Conseil de sécurité de l'ONU a donné raison au Maroc et a mis en cause les fauteurs de troubles selon lui responsables de l'enveniment des événements de Laâyoune.