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Une fois encore l'histoire se répète, se renouvelle..., mais pas heureuse plutôt dramatique avec ce qui se passe actuellement en Côte d'Ivoire à cause du refus ostensible de Laurent Gbagbo de quitter le pouvoir à l'issue des élections présidentielles qui ont donné victoire à Lhassane Ouattara.

Malgré les injonctions internationales, Gbagbo fait la sourde oreille au risque de mettre son pays à feu et à sang. Il ne s'en cache pas, lui ou le chaos, menaçant de provoquer la guerre civile.

Comme c'est souvent le cas, dans certains pays qu'on appelle du tiers monde, le processus électoral est détourné pour ne pas dire confisqué par ceux qui ne peuvent dicter l'issu du scrutin.

C'est dire que ceux qui détiennent le pouvoir n'arrivent pas à s'en départir soit en usant de coup de force contre la volonté populaire soit en le léguant à leur descendance, tendance qui a cours depuis quelque temps pour perpétuer leur "règne",montrant ainsi l'incapacité des tenants du pouvoir à penser la démocratie en terme d'alternance politique.

Vouloir garder la main mise sur leur pays n'est évidemment pas par souci d'intérêt général, mais plutôt égoiste, le confondant avec une propriété privée.

Or, l'histoire finira toujours par imposer la volonté populaire aux régimes autocratiques, oppresseurs et corrompus.